A la recherche d'un apprenti

Une navette Kappa se detacha du navire en forme de dague, qu'était le Poing de Ziost. Le voyage fut rapide, se posant sur l'une des nombreuses pistes d'attérissage d'Iziz, le temps n'était guère agréable, frais et nuageux. Traversant la piste, un officier des douanes arriva :

J'ai ordre de fouiller vôtre vaisseau.

Vous ne trouvez rien, vous pouvez partir. dit Harsk qui n'avait rien à se repprocher.

Je ne trouverais rien, je vais partir.

Harsk traversa le statioport. Il sentait un esprit obscur dans la recherche d'un maitre et s'était précisement le but de sa venue sur Ondéron. Cependant, au coin d'une rue, un groupe de bestiaire attendait une proie. Le chef s'avança devant Theol, il le prenait pour un vulgaire mercenaire ou civil.

Donne tout tes objets et tu vivras.

Sans dire un mot, Harsk leva son sabre. L'activant, il trancha l'homme. Derrière il entendit :

Saleté, allez on va se le tuez.

Les hommes dégainèrent leurs armes

Le membre Theol Harsk a effectué l’action suivante : Hasard

1 fois
Résultats :
 

Un homme avait été touché à l'épaule tomba par terre. Les trois autres hommes continuaient de tirer.

(*) Ca va finir par attirer du monde (*)
Harsk décida de " tester ", le pouvoir qu'il y a peu il avait appris.

Le membre Theol Harsk a effectué l’action suivante : Hasard

2 fois
Résultats :
   

Avec l'arrivée des deux soldats, se fut la fin du dernier homme, qui fut prestemment exeécuté, s'apporchant de Harsk un soldat dit :

Vous allez venir au poste, vous y déposerez vôtre témoignage.

Usant de la Force, harsk répondit :

Vous n'avez rien vu. D'ailleurs il ne s'est rien passé, je peux donc partir.

Il ne s'est rien passé ici, allons partez maintenant.

Harsk se rendit jusqu'à la cantina où la personne qu'il cherchait semblait se battre, dedans, il se mit à une table juste à coté de l'entrée, un serveuse arriva :

Que voulez vous ?

Un sirop d'alliala.

Très bien, cela fait 5 crédits.

Tenez.

Harsk attendit, regardant une partie de sabacc, la personne devait bientôt arriver.

Harsk regardait une partie de sabacc en train d'être joué, l'un des quatre joueurs trichait, bien que les autres n'arrivaient à le voir. Détournant le regard, Harsk " contempla " l'intérieur de la cantina, il n'y avait pas grand chose à part les grands murs couleur ocres. Alors qu'il attendait patiemment, il ressenti un important trouble, sondant grâce à la Force les pièces de la cantina, il s'aperçut que la trace de la personne qu'il était venu chercher avait disparu. Harsk commença à douter, se levant, il marcha jusqu'à la porte essayant une dernière fois de détecter celle qu'il cherchait, non il ne voyait plus rien, qui ressemblait à l'adepte.

Dehors la nuit commençait à tomber, il ne fallait pas s'éterniser, prenant un petit ensemble de ruelle, il sentit un être au coin de l'angle.

(*) Ces rues sont de véritable coupe-gorge (*)

Dégainant son sabre sans l'allumer, levant la tête on voyait son oeil artificiel qui brillait d'un puissant éclat. L'homme avait vu cette ombre qui nez pouvait sembler qu'inquiétante. Prenant peur, l'homme se mit à courir, sans même tenter de s'éclipser sans bruit. Continuant Harsk arriva au statioport, par le chemin le plus court il arriva à sa navette qui l'ammena sur le Poing de Ziost.

A bord du Poing, un commandant nommé Iorilan se mit au garde à vous.

Monseigneur.

Ordonnez au capitaine de partir pour Korriban, si le colonel me cherche je serais dans mes quartiers.

Harsk avança jusqu'au turbo-ascenseur. Appuyant sur le bouton qui était interdit qu simple soldat, il arriva dans ses "appartements" froid et gris. s'asseyant sur le sol, aussi froid que sombre, il commença à méditer. Pendant ce temps, le Poing se lança vers Korriban.