Bataille de Coruscant

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Un technicien républicain vint l'nformer que le blocus était fini. Apperement cela fesait longemps mais ils n'avaient pas eu le temps de s'occupper de lui. CS réunit l'équipage (ce qui prit plusieurs heures, car ils étaient disperser partout dans les quartiers de Coruscant) et partit pour Bothawui chercher sa commande de vaisseaux.


Suite à Bothawui

Regardant, les petits inscetes qui formaient l'image de la bataille, Onimi savait que la bataille était perdu. Tout à coup les insectes représentant le dernier Korr Chokk de la flotte vong se dispersèrent. Le navire n'existait plus qu'en poussière et son dirigeant aussi, Shimrra était mort.

Capitaine, ordonnez la retraite.

Mais !

Donnez moi un villip.

Le prenant, il transmit à tout les vaisseaux l'ordre de se replier, la flotte qui restait été encore relativement importante. Mais hélas, seulement 2 Miid Ro'Ik, 20 Mataloks et près de 500 navires de taille moindre se dirigèrent vers le point de sortie N°9, avec cela les deux interdicteur, 4 Miid Ro'ik et 20 Mataloks de ce même point N°9. Les autres préférant mourir face aux hérétiques.

La Flotte ne compte désoramis plus qu'une poignée de navires.

Se regroupant, la dernière flotte vong ( il y a : 1 Cuirassé Uro-Ik Val'h, 6 Vaisseau de Guerre Miid Ro'Ik, 40 Mataloks et 600 vaisseaux de moindre importance) parti pour Rodia

Les vaisseaux dirigés par les Vongs avaient fuis en masse. Seuls quelques valeureux et téméraires (ou complètement stupides) Vongs avaient néanmoins continués le combat. Mais ceux-ci furent rapidement écrasés par les vaisseaux alliés. Ils furent annihilés en quelques minutes, causant tout de fois de nombreux dégâts. Ils avaient formé un front uni pour leur dernière attaque, mais malgré cela, ils ne purent vaincre les néo-républicains et impériaux qui concentrèrent leurs armes sur eux. La bataille de Coruscant était enfin terminée. Du moins, en orbite. Car les combats au Sénat continuaient toujours, même si comme lors du combat spatial, ce n'était qu'une question de temps avant que les derniers Vongs survivants soient vaincus.

Des exclamations de joie avaient parcouru toutes les structures et passerelles du "Libérateur d'Etoiles" dès que le gros de la flotte ennemie avait sauté en hyperespace. Ce fut le même moment où un coup de turbolaser couplé avec un tir ionique vient frappé la passerelle d'un cuirassé Uro-Ik Val'h et illuminant la passerelle du "Libérateur d'Etoiles". Celle du cuirassé vola quant à elle en éclat. Dès que les derniers interdicteurs vong quittèrent l'espace Coruscanti, de nombreux civils présents malgré eux non loin de la bataille, purent s'enfuir. Malgré la victoire de la Nouvelle République et de l'Empire. Les vaisseaux restants des deux factions s'étaient regroupés en un seul bloc non loin des chantiers de la CTR. Ceux-ci n'avaient été que légèrement touchés. Des milliers et des milliers de carcasse de vaisseaux métalliques et organiques gravitaient autour de la planète. On aurait cru un champ d'astéroïde gris sombre, noir et vert. Les boucliers des vaisseaux présents devaient toujours avoir leur bouclier déflecteur branché pour éviter de se faire éperonner par une épave traînant dans les parages. Elle pouvait aller d'une immense structure de superdestroyer à la simple turbine de chasseur Tie. Le paysage était apocalyptique malgré la douce couleur doré fournit par le soleil de Coruscant. Si les épaves n'allaient pas être nettoyé, Isïana aurait sûre qu'un anneau planétaire artificiel se serait formé autour de la planète, révélant encore plus sa nature intérieure.

Sortant de sa rêverie, alors qu'elle regardait le paysage spatial par un hublot, son officier en second l'interpella. Elle resta une dizaine de secondes sans bouger. Elle ne le fit que lorsque son dit officier l'interpella à nouveau. Elle tourna la tête et se décida enfin à l'écouter.

- Amirale. Les derniers Vongs ont été finalement vaincu. La bataille est entièrement terminé.
- Enfin une bonne nouvelle. Quelles sont nos pertes, concernant ma flottille?
- Vous souhaitez savoir les pertes ... ou nos survivants, Amirale?
- La seconde sera beaucoup plus indicative, je pense.
- Je suis du même avis que vous, Amirale. Outre le "Libérateur d'Etoiles", il vous reste le "Baiser de Zeltron" et "le Wookie Déchaîné". Les deux autres croiseurs de classe Defender ont été abbatus à la fin du combat...
- Oui, je l'avais vu sur l'écran tactique...
- ... Mais il y a encore neuf croiseurs MC-90, douze dragons Hapiens et quatre escadrons d'Aile-X. Du moins, quarante-huit appareils survivants plus exactement.
- Très bien, Colonel. Faîtes ammarer les vaisseaux avec les chantiers. Dîtes aux ingénieurs de réparer les vaisseaux le plus vite possible.
- A vos ordres, Amirale!

L'officier en second se dirigea vers la console de communication et transmit la demande formulée par la Twi'lek. Le "Libérateur d'Etoiles" se mit en mouvement et ses puissants moteurs subliminiques dirigèrent le croiseur géonosien vers un immense chantier orbital à quelques dizaines de klicks de là. Les vaisseaux de sa flottille, ou du moins de ceux qui en restaient, suivirent le vaisseau amiral. Elle précisa tout de fois sa destination au Commandement de la Nouvelle République, pour éviter tout problème. Chose qu'elle préférait éviter pour l'instant. La seule chose auquelle elle pensa à ce moment là fut un bon verre dans une cantina perdue dans le fin de la Galaxie. Un endroit où personne ne la reconnaîtrait, ne lui poserait de problème. Le paradis pour officier! Elle soupira. Même si en tant qu'amirale, elle ne s'était pas fatigué physiquement, le stress et la réflexion pour la bataille l'avait vidé de toute son énergie. Un instant de nostalgie apparu brièvement avant de se dissiper. Elle allait finir par regrété d'être amirale. Même si c'était un endroit dangereux, le cockpit d'un chasseur en pleine bataille pouvait apparaître plus reposante.

Le "Libérateur d'Etoiles" arriva finalement aux chantiers. Dès que se fut fait, elle quitta la passerelle. Elle descendit dans un hangar et monta dans une navette en étant bien évidemment escortée. Chose inutile sachant que la bataille était terminée et qu'il n'y avait presque plus aucun danger. La navette décolla rapidement et quitta le croiseur géonosien et descendit rapidement vers la surface de la planète. Elle avait vraiment besoin de vacances...

Une explosion revailla o'neill, il avait été assomé mais le virus avait annihilé toute vie dans le vaisseau dans lequel il se trouvait .

Pourtant la republique tirait sur le vaisseau sans vie .

Le colonel souleva sa vielle carcasse et courra en quete de son vaisseau, il le retrouva tenta de la mettre en marche et de communiquer :
"Ici Le Colonel O'neill quelqun me reçoi ?"

O'neil avait été visiblement abandonné par la republique :

"bon sang ! ça m'apprendra à profiter de ma retraite ! O'neill la prochaine fois jete toi d'un pont ça t'evitera de faire des betises comme celle là !"

le colonel rappuya sur un bouton :
"Quelqun me reçoit ???"

A bord du Tireur Duro le capitaine reçut un appel :

Je suis le capitaine Arion, du vaisseau le Tireur Duro, qui êtes vous ? Et que voulez vous ?

O'neil jura :
"roo ! pour l'amour du ciel !"

il appuya sur un bouton :
"je suis le colonel o'neill de l'air force ! ... dites moi ça vous arrive souvent d'abandonner vos hommes dans la marine ?"

"decidement ! alpha rouge a fonctionné arreté de tire sur ce vaisseau il n'y que moi à l'interieur"

"Dois je nettoyer les vaisseaux suivant ou d'autre groupe s'en occupe ?"

O'neill decolla et sortie du vaisseaux vong