Progression du commando II

Le commando continua à avancer sur les remparts de la ville jusqu'à trouver un escalier qui leur permit de descendre dans les rues. Ils progressaient lentement mais sûrement, faisant attention à ne pas rencontrer de patrouille Républicaine. Jaïna n'a jamais autant détester l'éclairage public que jusqu'à présent, leurs ombres avançant d'un réverbère à un autre. D'un coup, les pas de plusieurs hommes vinrent dans leurs directions, les six soldats eurent tout juste le temps de se cacher derrière une haie pour éviter la patrouille qui débouchait d'une rue à une dizaine de mètres. Les républicains passèrent à deux mètres d'eux sans rien se douter. Lorsque les son de la marche synchroniser des militaires furent lointains, le peloton impérialiste repris sa route vers la Palais Royal. Ils en étaient encore très loin, Theed est une grande ville. Après une demi-heure de marche, une nouvelle patrouille vînt à leur rencontre, mais cette fois il n'y avait pas d'endroit où se cacher, c'était une longue rue bordé de maisons. Jaïna courut vers une maison et par chance, elle était ouverte, le commando y pénétra pour éviter les soldats. Un couple dormait, l'irruption des impérialistes les réveilla.

Qui êtes-vous ?
Baîllonnez les.
Mais madame, avec tout le respect que je vous dois, nous devrions les tuer. Si jamais ils sont découvert et qu'ils témoignent...
Taisez vous, j'ai dit de les baîlloner, nous ne sommes pas des assassins, et ce sont des civils.

Pendant que deux stormtroopers ficelaient les deux humains en les cachant dans un placard, d'autres fouillaient la maison en quête d'un quelconque objet utile ou d'un autre témoin. Mais ils ne trouvèrent rien. Jaïna se demandait si elle avait bien fait, laisser les humains en vie était dangereux et s'ils étaient découvert ça mettrait la mission en danger, quoi qu'il en soit, il était maintenant trop tard pour changer d'avis, un commandant qui change ses ordres sans arrêt est un commandant sans autorité. Le peloton repartit, avec si c'est possible, encore plus de précautions. Une heure après, alors qu'ils n'étaient maintenant plus qu'à un kilomètre du Palais Royal, les soldats entendirent derrière eux un homme détaller, il fallait le ratraper avant qu'il ne sonne l'alerte. Les six militaire le poursuivirent n'osant pas tirer de peur d'attirer l'attention des Forces Républicaines. Après cinq minutes de courses, le commando coinça le misérable humain dans une impasse.

Atendez, attendez, supplia le civil à bout de souffle, je ne suis pas contre vous, j'ai eu peur, si je voulais vous dénoncer j'aurais crier. Ne me tuez pas et je vous promet de ne vous avoir jamais vu !
Il faut le tuer madame.
En effet.

Elle se retourna pour ne pas voir l'homme se faire égorger. Elle avait fait l'erreur une fois mais pas deux. Elle se demanda quel monstre elle était devenu pour penser ça, mais d'un autre côté la vie de l'humain ne lui importait guère. La mission était plus importante. Les six impérialistes reprirent leur chemin en laissant le cadavre là, on pourrait toujours croire à un règlement de compte ou à un banal assassinat. Ils n'étaient plus très loin du Palais désormais. Jaïna trouvait bizarre que la mission soit si facile, elle se 'rassura' en pensant que pénétré dans Theed n'était pas en soi un acte difficile, mais rentrer dans le Palais Royal serra une autre pair de manche.

Lorsqu'ils arrivèrent devant le Palais Royal, les six soldat de l'Empire Galactique se cachèrent derrière un muret. Devant le Palais, deux tourelles lourdes et une dizaine de soldats en armes. Impossible de passer par là. Jaïna savait d'expérience que si la porte était fermé, la fenêtre, elle était ouverte, suffisait de la trouver. Le commando fit le tour du Palais ... sans succès. Toutes les entrés étaient bien gardé. Si on ne peut pas rentré, ni par la force, ni par la discrétion, il faut trouver une autre solution. Un des soldats eu l'idée d'intercepter une patrouille pour leurs prendre leurs uniformes, risquer, mais à tenter. La difficulté est d'intercepter un patrouille d'au moins six soldats, sans bruit et sans en laisser réchapper. Les six soldats ôtèrent leurs armures, les cachèrent dans un talus, une fois habillé en civil, s'assirent dans un parc, attendant leur cible qui ne tarda pas à arriver. Une patrouille de cinq soldats républicains vint vers eux.

Il est tard mesdemoiselles et messieurs, vous devriez rentrer chez vous.
Excusez nous. on va rentrer.

Les impérialistes se dirigèrent vers les républicains, comme si leur maison se trouvait par là, mais lorsqu'ils arrivèrent à leur hauteur, Jaïna et ses hommes dégainèrent leurs poignards.

1, 6 : Tout les soldats sont égorgés sous l'effet de surprise.
2 : Tout les soldats sont égorgés sous l'effet de surprise mais un réussit à appeller à l'aide.
3 : Tout les soldats sont égorgés sauf deux qui dégainent leurs vibrolame.
4 : Tout les soldats sont égorgés sauf trois qui dégainent leurs vibrolames.
5 : Tout les soldats sont égorgés sauf un qui s'enfuit.

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'6' :

Résultat :

A deux contre six vous n'avez aucunes chances, rendez-vous ou mourez.

L'algèbre est sans pitié. Les républicains ont vite fait le calcule et se rende sans résistance, ce que tout homme normalement constitué ferrait. Tenant parole, les deux soldats furent dépouiller de leurs vêtement mais la vie sauve ils furent juste cacher dans un bosquet avec les cadavres de leurs amis. Après avoir revêtit les uniformes républicains, les impérialistes jetèrent un peu d'eau de leurs gourde sur les taches de sang qui s'évacuèrent vite dans le caniveau. Il y avait quelques taches rougeâtres sur deux des uniformes, mais rien qui suffisait à faire un contrôle. Une femme que Jaïna désigna n'eut pas de vêtement républicains, et pour cause ils n'en avait que cinq pour six. La soldate désigner les attendrais donc à un point de rendez-vous. Ils continueraient la mission à cinq désormais. Jaïna espérait seulement qu'on ne leurs demande pas d'autorisation lorsqu'il essayerait de pénétré dans le palais. Justement ils s'approchait du Palais ...

1 : L'alerte sonne, les deux civil ont été retrouvé.
2 : L'alerte sonne, leur compagnon a été capturée.
3,6 : Aucun contrôle, ils passent sans problèmes.
4 : Le soldat à l'entré leur demande leurs papiers et leurs autorisations.
5 : Le soldat à l'entré demande pourquoi il y a du sang sur leurs uniformes.

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'6' :

Résultat :

Passez... Non attendez, commandant, pourquoi deux de vos soldats ont du sang sur leurs uniformes ?

Un frisson parcourut la nuque de Jaïna, elle ne pensait pas que quiconque remarquerais ses petites taches.

Oh euhm ... On a eu un problème avec un ... Enfin je veut dire la soldate 2nd classe a saigné du nez, et il l'a soigner mais du sang a coulé sur leurs uniformes. C'est tout bête, d'ailleurs j'allais conduire la soldate à l'infirmerie.

1,3,5 : Le soldat n'en croit pas un mot, et demande de le suivre.
2,4,6 : Ca passe comme un holocron à la Galacticposte.

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'6' :

Résultat :

Bien, circulez patrouille.

C'était pas si difficile, mais les contrôles seront plus fréquent désormais. S'ils pouvaient se procurer des autorisations se serait pas mal. Les voilà rendu dans la partie entre le Palais et la ville, des sortes de douves passaient sous le pont sur lequel ils étaient. Jaïna savait pour l'avoir lu dans un quelconque bouquin de géographie que c'était la rivière Solleu qui était sous ses pieds, mais peu lui importait. Après avoir passé l'immense portique à cinq pylônes d'entrée, le commando pénétra dans le Palais ...

Suite dans le Palais Royal de Naboo.

Jaïna courut le plus vite quel put pendant le plus longtemps quel pu. Une fois qu'elle fut sûre de ne plus être suivit, elle s'arrêta et s'assied, elle n'avait tout de même pas oser penser que ça serait si facile ! elle réfléchit quelques instants et se dit qu'il serait préférable de rejoindre l'endroit où elle avait déjà envoyé la soldate qui n'avait pas d'uniforme. Elle prit donc cette direction, au loin, une sirène d'alarme prévenait tout le monde de leurs présences. Au passage elle retourna récupéré son armure dans le bosquet où ils les avaient cachés. Elle remarqua au passage que les deux hommes qu'ils avaient ficelés tout à l'heure avait disparu. Mission pourrie se dit-elle. Une fois son armure enfilé, et bien que Jaïna garda l'uniforme républicain, elle reprit le chemin du rendez vous, évitant çà et là, plusieurs patrouilles de justesse. Une fois au point prévu, une voix familière lui souffla : Lieutenant ! La soldate qu'elle avait envoyé là était dans un complexe de jeu pour enfant, totalement invisible lorsqu'on ne sait pas qu'elle s'y trouve, en s'avançant vers elle, Jaïna remarqua que deux autres de ses soldats étaient présent en uniformes républicains qui avaient eu la même idée qu'elle. Deux soldats manque à l'appel, et après avoir patienter dix minutes, les stormtrooper les considérèrent comme prisonniers. Il était désormais impossible de réutiliser les uniformes républicains, une attaque en force s'avérait maintenant encore plus improbable qu'avant puisqu'ils devaient avoir augmenter la garde. L'idée d'un repli tenta un moment Jaïna jusqu'à ce qu'elle se dit que si elle déboulait devant le gouverneur avec un échec, elle serait rétrogradé, voir même mise à mort pour l'exemple, il en serait capable... Déserté ? Non elle ne pouvait se le permettre vu sa situation financière. Il fallait accomplir cette mission ou se rendre. D'une certaine façon, se rendre était la meilleur façon de pénétré le Palais, mais après il faut être sûr de pouvoir s'évader... ce qui n'était pas le cas. Désormais plus qu'à quatre, les chances de réussite de la mission (déjà des moindre à l'origine) étaient désormais proche du zéro absolu ! Ne trouvant pas d'issue à ce dilemme, elle espéra que la Force serait avec elle comme le disais son maître du temps où elle était apprentie Jedi et décida de sortir de leur complexe.
La rue était toujours aussi lumineuse et avec cette luminosité leurs armures noires n'étaient d'aucun avantage. Soudain, après avoir eu une énième fois peur d'un de ses deux compagnons en uniformes ennemi, elle eu l'idée d'utiliser le même stratagème que Han Solo et Chewbacca dans l'Etoile Noire, c'est à dire que les deux soldats en uniforme font semblant d'avoir capturer les deux stormtrooper et les font rentrer dans le Palais. Oui c'est totalement improbable que cela marche, mais ce ne sont pas les stratégie les plus improbables qui fonctionnent le plus ? Les deux impérialistes menottèrent leurs compagnes et prirent la direction du palais. Plusieurs patrouille les rencontrèrent et les deux soldats rétorquaient qu'ils avaient capturer les dangereux criminels, par chances ont ne leurs posa pas de questions. Ils arrivèrent devant le Palais, espérant qu'ils se souviendrais pas de la tête des deux soldats, mais il y avait peu de chances, ils avaient détaller très vite sans que le garde ai vraiment eu le temps de les voir.

Mon camarade et moi-même avons capturé deux soldats de l'Empire, autorisation de les escortés jusqu'à leurs cellules ?

Alors que le lieutenant se retourna, il vit des soldats en tenue de républicains qui arrivaient. C'était les mêmes que ceux qui avaient tenté de pénétrer dans le palais tout à l'heure, mais désormais, ils étaient prêt à toute éventualité et les deux impériaux se retrouvèrent rapidement en cellules. Évidemment, ils étaient dans des prisons différentes et avaient été fouillés, mais les cellules en elles-mêmes étaient assez confortables pour une fois. Néanmoins, Jaïna avait peu de chance d'en sortir vu que la porte était protégé par un champ de force et la fenêtre blindée également.

Jaïna Dell se retrouva en prison. Elle fut heureuse de trouver un lit et s'y endormit immédiatement.
A son réveil plusieurs heures plus tard, elle réfléchit au moyen de sortir, là encore c'était un problème de taille. Elle remarqua un plateau déjeuné d'apparence modeste placé par terre. Autour d'elle, Jaïna n'avait pas vraiment eu le temps de faire le tour du propriétaire en arrivant, il y avait un bol d'eau, des toilettes, et son lit, sans draps. Le jeune femme prit le plateau et commença a manger, mais il n'y avait rien qui lui permettrait de l'aider à sortir, tout était en plastique mou. Elle laissa le plateau une fois fini, comment sortir ? ...
Elle resta allongée sur son lit pendant un très long moment a contempler le plafond de la cellule. Soudain le champ de force se désactiva. Quatre soldats en armes entrèrent et lui demandèrent de les suivre. On l'amena dans une pièce, plus sombre que le reste du Palais, car maintenant elle en était sûre, elle était dans le Palais au vu des somptueuses décorations. Jaïna comprit que l'on allait l'interroger.

Madame, déclinez nom et prénom, âge, ainsi que votre grade.
Jaïna Dell, 19 ans, 1er Lieutenant de l'Empire.
Quel était le but de votre mission ?
Trouver et récupérer les plans d'une installation secrète.
Quels plans de quels installations ? Où devait se trouver ces plans ?
Je n'en sais pas plus au sujet de l'installation. Les plans se trouve ici, dans le Palais Royal de Naboo.

L'interrogateur sortit de la pièce quelques instants. Jaïna resta seule avec deux gardes de part et d'autre d'elle. Ensuite l'interrogateur revint et lui dit que l'interrogatoire était terminé. Une fois de retour dans sa cellule, Jaïna restait perplexe. L'homme qui lui posait des question avait parut décontenancé lorsqu'elle avait parlé des plans. Pourtant il devait être au courant. La République n'avait aucune raison de cacher à ses hommes qu'ils avaient dérobé des plans, au contraire c'est plutôt la chose que l'ont dit pour remonter le moral des soldats.
Jaïna passa une nouvelle nuit dans sa cellule et au lendemain, il y avait de nouveau de plateau, elle mangea (cela devait être de la nourriture super-énergétique puisqu'ils n'en donnait qu'un par jour et Jaïna ne ressentait pas la faim). Puis dans la soirée on la refit sortir de sa cellule pour la ramener dans la pièce qu'elle avait vu la veille. Ses cinq autres amis étaient là. On leurs expliqua qu'il n'y avait pas de plans mais qu'ils étaient désormais des prisonniers de guerre et qu'il pourrait éventuellement être échanger contre des informations ou d'autres soldats ... En gros ils allaient restés pas mal de temps en prison. Au fond, Jaïna les croyais lorsqu'ils disaient qu'il n'y avait pas de plans, mais d'un autre côté elle se disait que c'était des mensonges. Quoi qu'il en soit, on la ramena dans sa cellule.

HRPG : J'ai fait un nouveau poste pour rajouter le hasard, on ne peux pas rajouter le hasard à une édition.

Si elle ne pouvait pas sortit de la cellule par ses propres moyens, il fallait que quelqu'un d'autre la sorte d'ici, or les seules personnes qui sont dans cette capacité sont les Républicains eux-même. D'expérience, Jaïna sait que l'infirmerie est moins gardée, gardée certes un peu, puisqu'on considèrent que si on va à l'infirmerie de la prison c'est qu'on ne peux presque plus bouger, donc on est moins dangereux. Sans vraiment de plan à l'avance (elle improviserais), Jaïna se mi à crier le plus fort qu'elle put. Elle revoyait un documentaire d'un homme qui était en manque de bâton de la mort (une drogue hallucinogène), et se mit à la place de cet homme. Elle s'imaginait qu'on lui arrache les tripes, qu'elle était piqué de partout ... Bientôt, deux soldats ameuté par le bruit l'observèrent quelques instant puis la prirent tout les deux. Le plan de la jeune femme marchait à merveille, on la conduisit à l'infirmerie. Jaïna continuait à hurler des tout ses poumons. Un médecins s'approcha tentant de la calmer, n'y arrivant pas il lui fit une piqure. Contre son gré, Jaïna se sentit planant et cessa de crier, elle était dans un état second où tout lui paraissait plus beau, se demandant pourquoi elle avait crier comme ça. Le médecin aidé par une assistante ausculta l'impériale. Lui touchant certaine partie du ventre, Jaïna répondait oui ou non au gré de ses envies. Au bout d'un quart d'heure le médecin dicta à son assistante :

Le patient présente de multiple maux, peut-être des infections, il faudra pousser les examens plus loin si dans 24 heures le patient ne se sens pas mieux, en attendant, nous allons doubler la dose de calmant au vu de la douleur.

Ça ne présageait rien de bon, Jaïna était déjà dans les vapes mais avec une nouvelle dose de calmant elle ne pourrait plus s'échapper. Elle fit non de la tête mais rien n'y fit, on lui injecta un nouveau calmant. Jaïna voyait tout beaucoup, beaucoup trop lentement. N'étant pas considérée comme dangereuse, il la placèrent avec trois autres détenus dans une salle commune. Il y avait un garde dans un bureau au coin d'un mur. Le garde regardait l'holonet qui diffusait une course spatial. Jaïna sortit doucement de son lit sans un bruit, avança à quatre pattes sous le mur du bureau, ouvrit doucement la porte, bien qu'elle grinçait un peu, le soldat n'entendit rien, captiver par sa course. Une fois dans le couloir, elle la referma et réfléchit (au ralentit, toujours sous l'effet des calmants), il fallait qu'elle vérifie si ce qu'avait dit les républicains était exact. Il fallait qu'elle se rende à l'endroit où se trouvait normalement les plans. Toujours à quatre pattes, car elle ne se sentait pas capable de marcher debout, la jeune femme avança doucement dans les couloirs, trouvant de temps en temps un plan sur un mur pour s'orienter. Heureusement, la nuit il n'y avait presque personne dans les couloir, un ou deux diplomates qui avaient oublié quelque chose dans leurs bureaux, le plus difficile étant d'évité les soldats qui faisant leurs rondes ou les postes de garde. Mais par une chance miraculeuse que Jaïna ne saura expliquer, elle atteins le terminal, le pirata rapidement (c'était un petit terminal qui ne demande même pas de mot de passe), Jaïna doutait qu'il y ai quoi que ce soit de secret dedans ... Et en effet, il n'y avait rien d'autre que le compte rendu journalier du balayeur. Le gouverneur les avait bel et bien envoyé au casse pipe ? Mais pour quel raisons ? Jaïna avait entendu un de ses soldats dire que l'escouade qu'elle commandait avait fait une faute, et elle, elle est une ex-criminel recherchée par l'Empire, et en plus c'est une femme. C'est à ce moment que l'alarme retentit pour la seconde fois cette semaine, on devait avoir remarqué qu'elle n'était plus dans son lit. Heureusement, l'effet du calmant se dissipait, Jaïna put donc se relever et courir. A l'angle d'un couloir, elle arriva derrière un soldat ...

1, 2, 5 : Jaïna assomme le soldat.
3, 4, 6 : Il se retourne et la met en joue.

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'6' :

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Le soldat fit volte-face d'un coup et se mis en position de tir. Il avait l'air de paniquer.

Olà ! Du calme l'ami, on peut discuter non ?
Les mains sur la tête !
Hé du calme ne stress pas.
Les mains sur la tête immédiatement !
Ok, ok, regarde, je met mes mains sur ma tête.
Maintenant à genoux ! Tout de suite !
Voilà, tu vois, je coopère, je me met à genoux.

C'est là que le soldat fit une grossière erreur, alors qu'il tenait Jaïna et avait juste à appeler les renforts, il la tenta façon héroïque. Le républicain sortit un pair de menotte, et tout en gardant Jaïna en joue, il s'approcha.
La jeune femme bondit alors sur l'homme.

1,2 : Le soldat tire instinctivement.
3,4 : Jaïna désarme l'homme.
5,6 : Jaïna désarme l'homme mais c'est à ce moment qu'une patrouille arrive.

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'6' :

Résultat :

Par chance, Jaïna réussit à attraper le blaster du soldat et à lui faire une clé de bras. Le soldat se fit littéralement dessus, une auréole apparut sur son pantalon. Un coup sur le haut de la tête et il arrêta de gesticuler. Maintenant, Jaïna était armé d'un pistolet blaster lourd CR-2 ainsi que de deux détonateurs flash. Une nouvelle fois, elle continua à avancer discrètement dans le Palais après avoir dissimulé le corps du garde. Elle devait sortir d'ici, éventuellement libéré son équipe si cela ne lui posait pas trop de problèmes. Plusieurs fois, elle évita des gardes de justesse en se glissant dans une alcôve d'un mûr. Sa progression devenait de plus en plus ardu compte tenu du fait que les forces républicaines étaient à sa recherche. De plus en plus souvent, elle approchait d'un poste de garde, ce qui l'obligeait à faire des détours de plus en plus long et fastidieux. Au bout d'un temps, elle se retrouva dans les cuisines, tout le monde étaient occupé à préparer le déjeuné Royal et Jaïna pu traverser presque la moitié de la pièce sans se faire remarquer, mais il fallut qu'un cuisinier fasse tomber un plat à côté d'elle pour que tout le monde se retourne. Jaïna prit l'homme le plus proche en otage en lui posant son blaster sur la tempe. Les forces de sécurités n'allaient pas tardé et jaïna devait trouver une solution, bientôt la pièce serait bouclée. Effectivement, déjà une dizaine de soldats arrivèrent à l'entrée. Jaïna dégoupilla une grenade flash, la lança et se mit à couvert derrière un meuble pour ne pas être ébloui. Ses ennemis n'eurent pas le temps de réagir et furent étourdit, ne voyant rien pour plusieurs secondes, ce qui laissait amplement le temps à la jeune femme de fuir. Elle lâcha son cuisinier puis courut vers la sortit la plus proche. Une vaste salle apparut alors, c'était sans aucuns doutes la salle à manger royal. Jaïna traversa la pièce de part en part et se retrouva dans un nouveau couloir, elle paniquait car elle entendait les gardes la suivre de près. Elle pénétra dans une pièce au hasard, c'était une buanderie. L'ex Jedi sauta dans petit chariot où était disposé un tas informe de vêtements. Pendant de longues minutes, elle resta au auget, mais personne ne fit irruption dans la petite laverie.
Jaïna ouvrit les yeux ... Elle avait dormit, mais pendant combien de temps ? Il faisait une chaleur insoutenable sous le monticule de textiles. Et puis, elle avait la nette impression de se déplacer ... mais oui ! Elle bougeait réellement, quelqu'un poussait le petit chariot. Sûrement un agent de maintenance, mais où la conduisait-il ? Jaïna n'osait bouger de peur d'éveiller des soupçons. Elle resta donc ainsi, à un moment le chariot s'immobilisa et Jaïna entendit vaguement des voix mais ne distinguait pas le sujet de la conversation. Puis son véhicule repartit et s'arrêta dix minutes plus tard. Jaïna patienta encore cinq minutes et comme elle n'entait rien, se risqua à sortir la tête. Il n'y avait personne. Autour d'elle, des dizaines de chariots semblable au sien étaient alignés. Une odeur de lessive flottait dans l'air. En effet, plus loin de grosses cuves moussaient, c'était sûrement la laverie public de la cité. Jaïna sortit donc, s'empara d'un capuchon tenta de trouver la sortit, par chance, les rares employé qu'elle rencontra étaient absorbé par leur travail. Jaïna priait pour être à l'extérieur du Palais ... Enfin elle trouva la sortie, et en effet, elle débouchait sur la rue. quel joie !
Désormais, Jaïna devait trouver un moyen de contacter l'Empire pour un rapatriement dans les plus brefs délais. Depuis la fin du traité de non-agression entre la Nouvelle République et l'Empire, il était devenu impossible de trouver une ligne commerciale entre deux planètes de chaque factions. Ou alors, il fallait contacter ses quatre compagnons, ils n'étaient pas connu des Forces Républicaines et ne devrait avoir aucun mal à passer le contrôle de vol. Oui c'est ce qu'il fallait faire. Suffisait de trouver un relais Holonet, normalement il y en a dans toutes cantina digne de ce nom. Jaïna évitait encore les patrouilles ennemi pour être sûr bien qu'elle doute être reconnu sous son capuchon.Elle pénétra dans un cantina, demanda à utiliser le relais Holonet et paya les deux crédits que lui demandait le serveur. Elle appela deux fois sa navette Lambda. Sans réponse, à la troisième, quelqu'un répondit.

Allo ?
Heureuse de parler à un allié, Jaïna chuchotait pour ne pas être entendue par les clients, venez sur Naboo immédiatement, vous me retrouverez dans une chambre de la cantina "Au Rancor grillé".
Bien madame.

Comme les clones n'arriveraient pas avant demain soir, Jaïna paya une chambre et y dormit immédiatement.

HRPG : Oui, je sais, c'est facile (quoique probable), mais je ne voulait pas faire éterniser cette mission.

Le lendemain soir, comme prévu, un homme encapuchonné vint dans sa chambre, le clone et la femme partirent immédiatement vers l'astroport. Le commando raconta qu'il n'avait eu aucun mal à passé les contrôles en prétendant être des touristes venu pour passer le week-end, mais il a remarquer que la planète était à un niveau d'alerte élevé. Jaïna n'en avait que faire, elle désirait retourné à Nubia pour discuter avec le gouverneur. Le week-end terminer, quitter la planète ne posa pas plus de problèmes que pour venir. Déjà les recherches envers Jaïna avait un peu faiblient, les républicains devaient penser qu'elle était déjà loin.
La navette Lambda pris donc la direction de Nubia.